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Essai BMW 128ti : pourquoi ?

Chers lecteurs, si j’emploie le mot efficacité, c’est après l’avoir bien choisi et observez que je n’ai pas écrit « plaisir ». En effet, il faut bien tenir le volant en raison des remontées de couple dans la direction et d’un train avant qui a tendance à suivre les aspérités de la route. Et ça aussi, je ne l’avais jamais ressenti au volant d’une BMW. Et je dois avouer que j’aurais pu vivre encore longtemps sans cela. 

En ce qui concerne la sonorité du moteur, BMW réussi a faire illusion avec un échappement à volet actif qui améliore la sonorité à bord. Mais un test à l’arrêt dans un tunnel sans circulation, fenêtres ouvertes, vous ramènera vite à la réalité : ce moteur n’est pas fait pour les mélomanes.

Faut-il craquer pour la 128ti ?

Par le passé, le label Ti équipait la 1800 TI. C’est elle qui a donné naissance à la lignée « Turismo Internazionale » chez BMW, qui définit un modèle compact, ludique, avec lequel on aime s’amuser, sans qu’il soit le plus puissant de la gamme. La 2002 TI (1968-1971), la 323 ti (1997-2000)  la 325 ti (2000-2004) se sont succédées avec leur 4 ou 6 cylindres et leur propulsion. 

Si on peut pardonner le recours au 4 cylindres, il en va autrement de la traction qui équipe la 128ti. Affichée à 46 550 euros, cette compacte n’est pas, en soit, un mauvais choix. Mais à ce prix, personnellement, je prends une M140i ou M135i d’occasion dans le réseau BMW qui bénéficiera d’une garantie officielle qui couvre tout ou presque.

Texte et photos : P HORTAIL

On aime :
Le look
Les suspensions en conduite rapide

On n’aime pas 
Le moteur
La traction et les remontées de couple
Les suspensions à basse vitesse

La 128ti en détails

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