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Essai BMW i4 M50 : drôle d’expérience

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La veille de prendre le volant de la BMW i4 M50, j’ai pu tester la M440i Gran Coupé, qui est sa cousine thermique  Vous lirez tout le bien que je pense de cette dernière. Du coup, que dire au sujet de l’i4 ? Que c’est une drôle d’expérience…

Design BMW i4

Autant se le dire, je suis fan du design de la BMW i4, surtout dans cette version M50 qui reçoit un look plus sportif que la eDrive40 de base. Sa ligne est un régal pour mes yeux. Je me suis habitué à la face avant qui m’avait presque effrayé lors de la parution des premières photos. J’adore l’arrière plongeant qui intègre un très pratique hayon. Personnellement, je lui aurais fait un malle arrière inspirée de celle de la M3 E46 CSL.

Par rapport à la série 3, l’i4 est plus longue de 76 mm (4,78 m), plus haute de 4 mm (1,45) et plus large de 23 mm (1,85 m). 

Où est le tableau de bord dans l’i4 ?

Il va falloir s’y habituer… Les tableaux de bord ergonomique dont BMW nous a tellement régalés ces dernières années, c’est fini. En dehors d’une petite « casquette » qui intègre l’affichage tête haute, il ne reste plus grand chose du poste de pilotage de la version thermique. A la place, vous trouverez un bel écran légèrement incurvé vers la partie droite du conducteur. 

Contrairement à la BMW iX, on a toujours certaines commandes de climatisation a porté de main et c’est une bonne chose. Seule la console centrale, avec le traditionnel levier de vitesses, les modes de conduite et la molette iDrive, vous rappellent que vous êtes dans une BMW.

Performances étonnantes !

Une fois installé au volant de la BMW i4 M50, on ne résiste pas longtemps à l’envie de vérifier si les performances dont tout le monde nous a parlé sont si décoiffantes que cela. On passe en mode « Sport Boost », qui donne la puissance maximale, puis on écrase l’accélérateur. Un départ arrêté répond rapidement à nos questions. Le 0 à 100 est expédié en 3,9 secondes grâce aux 4 roues motrices, comme sur une BMW M4 (voir ici). Par contre, il faut bien noter qu’à 225 km/h, l’i4 est stoppée dans son élan en perdant de vue la M4 qui pointe à 297 km/h… Pour les reprises, on n’a pas encore de données officielles, mais pour avoir testé les deux, je pense que la M4 à quelques soucis à se faire sur un 80-160 km/h. Au-delà, elle sera plus tranquille… Dans Auto Plus, l’I4, comparée à la M440i, se voit créditée d’un temps de 23 secondes sur un mille mètres départ arrêté, soit 2 secondes de plus que la M4.

Par contre, même si on dispose d’une sonorisation qui rappelle une navette venue de l’espace (même si personnellement je n’en ai jamais entendu, en dehors de quelques films), on est loin du frisson du moteur de la M4 ou de sa petite cousine la M440i. Les mélomanes dont je me revendique ne trouveront pas leur compte. 

PAGE 2 : I4, A L’USAGE

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