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ESSAI M4 COMPETITION : PETITES MISES À JOUR

AU VOLANT DE LA M4 2024

Au volant…

Au volant de cette M4, on ne ressent pas l’effet des 20 chevaux qui ressemblent plus à un argument commercial. Par contre, on continue de prendre beaucoup de plaisir. Notre itinéraire, fort bien choisi, a permis de se rappeler que cette M4 est incroyable. La sonorité et la rage dont le moteur fait preuve donnent envie de conduire encore un peu plus que ce qui était prévu initialement. C’est addictif et on se dit que, finalement, ce n’est pas grave si on arrive un peu en retard en repartant dans l’autre sens sur cette petite route sinueuse. On trouvera bien une excuse du style « j’ai dû m’arrêter pour recharger ma batterie ! Ah non, zut, ce n’est pas une voiture électrique… »  

Certes, la M4 est lourde (environ 1800 kilos), mais on ne ressent pas les effets du poids à son volant. Les voies larges et la monte pneumatique (des 275/35 ZR19 100Y XL à l’avant et 285/30 ZR20 99Y XL à l’arrière) assurent un grip qui permet des passages en courbe à des vitesses étonnantes en toute sécurité. Les remises en vitesse en sortie de courbes ou d’épingles vous catapultent vers la suivante grâce à la transmission intégrale.

Les freins, après une longue sollicitation, ont fini par envoyer un petit message sonore à traduire par « ce serait quand même bien de ralentir un peu, non ? ». 

En comparaison avec la M5, la M4 se montre nettement plus réactive. Elle est plus joueuse et donne nettement plus de sensations. À choisir, elle a ma préférence. Surtout que les réglages offerts par les différents modes de conduite permettent de configurer une M4 « sage », relativement confortable pour les trajets autoroutiers et une version « attaque » pour les petites routes. 

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